J’ai déjà parlé du Marchand de premières phrases parce que c’est un roman que j’ai beaucoup aimé traduire et parce qu’il y a eu pas mal d’informations à communiquer ici… et notamment le Prix Jean Monnet obtenu en 2016. Les précédents billets sont là, là, et là. Vous pouvez cliquer tranquillement et poursuivre la lecture ici: ces liens s’ouvriront dans un nouvel onglet.
La nouveauté depuis, c’est que j’ai réussi à faire venir l’auteur à Chartres. En tant que présidente du Café Bouquins de la belle cité des Carnutes devenue une des capitales de la lumière, des parfums et maintenant dotée d’une marque, CChartres, j’essaie de compléter nos réunions littéraires par des rencontres avec des écrivains en chair et en os. Au fait, notre Café Bouquins a un modeste blog où l’on retrouve tous les compte-rendus de nos rencontres. Allez voir, cela témoigne bien de la vitalité de la lecture en France récemment soulignée par une étude du Centre National du livre à découvrir… en cliquant ici. Vous verrez, c’est plein d’enseignements et assez optimiste.
Mais ne nous égarons pas. Le 3 avril 2017, la librairie L’Esperluète a donc co-invité Matei Visniec. Comme j’étais sur la sellette à côté de l’auteur pour répondre aux questions d’Olivier L’Hostis, je ne pouvais pas prendre de photos, alors vous ne nous verrez pas tous les deux dans cette posture. Néanmoins, j’ai ce cliché, pris après la rencontre. Je l’aime bien.
Mais si j’écris aujourd’hui, en plein au cœur des vacances, ce n’est pas seulement pour distraire ceux qui sont au bureau et qui écrivent des billets d’humeur en pensant à ceux qui sont en vacances (n’est-ce pas, Nicolas Gary?), c’est parce que le film réalisé après la rencontre est enfin sorti!
Hod, cameraman / réalisateur / monteur / promoteur des interviews qu’il fait avec les écrivains passant par ici vient de mettre son travail en ligne! C’est en noir et blanc, ce qui donne un côté chic, ça dure quelques minutes à peine et l’ensemble permet d’entrer dans l’univers de l’écrivain et dramaturge Matei Visniec. Quant à moi, je dis quelques mots pleins d’emphase à la toute fin. Mais bon, on ne se refait pas.
Et puis si ce billet vous a donné envie de lire Le Marchand de premières phrases, allez chez votre libraire! Sinon, achetez en ligne.
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