J’étais à Berlin quand les efforts de notre association de traducteurs de littérature roumaine (ATLR) se sont concrétisés par la mise en ligne de …. la revue Seine et Danube, nouvelle série.
Je suis heureuse de partager l’annonce de cette parution avec vous!
Fruit de plusieurs mois de travail pour toute notre équipe, notre revue on-line est à l’image des objectifs de notre association de traducteurs : originale et généreuse en découvertes.
Les textes traduits sont des inédits : ils donnent au lecteur une vision large de la littérature roumaine en traduction française, et ce, dès ce numéro inaugural.
Ayant les ambitions d’une encyclopédie permanente, Seine et Danube ne fera qu’élargir son éventail de thèmes, de styles et d’époques au fur et à mesure de sa croissance…
Il y aura de la poésie, des extraits de romans, de pièces de théâtre, d’essais.
Ainsi, au sommaire de notre premier numéro figurent dix traductions inédites:
- Trois Hymnes de Sorin Mărculescu, traduction de Dumitru Tsepeneag,
- Trois Poèmes de Cosmin Perţa, traduction Linda Maria Baros,
- L’entonnoir et Stamate et Ismaïl et Turnavitu, deux textes du surréaliste Urmuz, traduction Magda Carneci
- Le tiroir aux applaudissements, un beau passage du roman d’Ana Blandiana, traduction Helène Lenz
- L’Épopée d’une contrée fraîche et verdoyante de Radu Aldulescu, un extrait dans une traduction de Nicolas Cavaillès
- Adieu, l’Europe de Ion. D. Sîrbu, dans ma traduction : le grand texte d’un romancier également dramaturge de talent ;
- La fête ininterrompue de Damian Necula, un extrait traduit par Marily Le Nir,
- Le journal philosophique de Constantin Noica, traduction de Maria Cojan Negulesco
- Il fait beau en septembre à Venise…une pièce de Teodor Mazilu, traduction Philippe Loubière
- Amalia respire profondément de la jeune dramaturge Alina Nelega, dans une traduction de Mirella Patureau.
Le comité de rédaction et les membres de l’ATLR vous souhaitent de belles lectures sur le site de Seine et Danube.