Mon café, l’été, sous la treille. Un clin d’oeil de la lune et des étoiles, le matin, à 7 heures.

Mon café, l’été, sous la treille. Un clin d’oeil de la lune et des étoiles, le matin, à 7 heures.
Scrutant ce grain veiné, lourd et translucide, il me vient l’envie de demander : il y a quelqu’un?
Quelle Lolita perdit là son chouchou rose?
Enfant de la ville, j’ai toujours rêvé de ça.