A découvrir à partir de demain, 4 février, en librairie, le deuxième roman de Lucian Dan Teodorovici que j’ai traduit pour les éditions Gaia!
Je trouve que le texte d’annonce résume parfaitement ce livre :
« Dessiner une silhouette et ses facettes, comme autant d’escales sur les rives de l’intimité masculine : danser la gigue sur des échasses en rase campagne, recevoir sa première rouste, vivre une paternité sublime et bouleversante, boire quelques verres de whisky et s’allonger au fond d’une barque par une nuit de pleine lune, mentir et se sentir moche d’avoir menti, étouffer de jalousie par quinze mètres de fond, prendre la main de son grand-père pour se rassurer, voyager seul comme si l’on était deux…
Des questions plus que des réponses, esquissées avec humour et délicatesse pour dresser le portrait d’un seul homme, viril (parfois), beau (si vous voulez), et fragile (à coup sûr). »
Est-il nécessaire de préciser que j’ai adoré écrire cette traduction?